Informations complémentaires
Titre: 'I will survive'
Les œuvres de Gregory Dubus sont une représentation de sa personnalité qui est composé d’une dualité de concepts ambivalents qu'il essaie de faire coexister en harmonie : Spontanéité et planification ; Conscience et inconscience ; Simplicité et complexité ; Distance et proximité ; Monotonie et diversité…
Elles génèrent aussi une réflexion sur notre propre complexité et sur la qualité de notre relation avec l’autre.
En voici l’explication :
Créer des formes géométriques ayant une progression logique élémentaire est simple en soi. La difficulté est de réussir à les imbriquer ensemble pour y élaborer une myriade de structures et de compositions de tailles et de couleurs toutes différentes, créant ainsi une œuvre originale d’une grande complexée.
Leur création nécessite aussi énormément de temps et de la patience de la part de l’artiste car la majorité de ses œuvres contiennent des formes miniaturistes qui nécessitent le plus souvent plusieurs dizaines et voir parfois plusieurs centaines heures de travail.
Toutes ses œuvres sont réalisées à main levée (sans règle) et ceci nécessite énormément de concentration et de dextérité de la part de l’artiste, d’autant plus que, ne créant pas d’ébauche préalable, cela ne lui laisse aucun droit à l’erreur. L'artiste a besoin de canaliser son énergie et d’avoir une maitrise entière de son corps -et de son esprit- pour atteindre cet objectif et ainsi ne pas voir ces innombrables heures de travail perdu.
Même s’il utilise la réflexion avant de commencer une œuvre afin d’en déterminer les paramètres à prendre en compte (ex : style, taille et couleur des motifs), une fois celle-ci débutée, l’artiste fait preuve d’une totale spontanéité en laissant son inconscient le guider et éviter la duplication de mêmes motifs lors de la création de ses compositions. Il se focalise seulement sur la partie à réaliser et ne cherche à découvrir l’œuvre qu’une fois complétée.
Ses œuvres miniaturistes sont comme invisibles de loin et engendre une certaine monotonie -voir même un ennui- car l’œil du spectateur ne peux y distinguer qu’une uniformité apparente de couleurs sans réelles structures. Il faut que celui-ci se rapproche et regarde l’œuvre de plus prêt pour pouvoir passer à un état de surprise et d’étonnement en découvrant la grande richesse de formes complexes et très variées qui sont une invitation au voyage vers l’infini avec la possibilité d’atteindre un état hypnotique propice à la méditation.
Nous vivons dans un monde ou l’accès au plaisir facile et immédiat est le maitre mot et donc apprécier les œuvres de l’artiste n’est pas facile pour le spectateur. En effet, l’artiste lui demande d’aller à l’encontre de ce qu’il recherche en lui demandant de passer du temps à regarder l’œuvre et de faire un effort à l’analyser, la découvrir.
Regarder une œuvre de l’artiste est aussi comme une analogie au comportement actuel de l’homme et sa relation avec l’autre. En effet, lorsque l’on regarde une personne pour la première fois, on a tendance de nos jours à se faire un apriori au premier coup d'œil qui est bien souvent partiel et erronée. C’est seulement en ayant une démarche active vers l’autre, en s’en rapprochant, en passant du temps à discuter avec elle, à l’analyser et la comprendre que l’on peut découvrir sa vraie personnalité faite de diversité et de complexité et ainsi pouvoir apporter un jugement raisonné sur celle-ci en toute conscience.
Elles génèrent aussi une réflexion sur notre propre complexité et sur la qualité de notre relation avec l’autre.
En voici l’explication :
Créer des formes géométriques ayant une progression logique élémentaire est simple en soi. La difficulté est de réussir à les imbriquer ensemble pour y élaborer une myriade de structures et de compositions de tailles et de couleurs toutes différentes, créant ainsi une œuvre originale d’une grande complexée.
Leur création nécessite aussi énormément de temps et de la patience de la part de l’artiste car la majorité de ses œuvres contiennent des formes miniaturistes qui nécessitent le plus souvent plusieurs dizaines et voir parfois plusieurs centaines heures de travail.
Toutes ses œuvres sont réalisées à main levée (sans règle) et ceci nécessite énormément de concentration et de dextérité de la part de l’artiste, d’autant plus que, ne créant pas d’ébauche préalable, cela ne lui laisse aucun droit à l’erreur. L'artiste a besoin de canaliser son énergie et d’avoir une maitrise entière de son corps -et de son esprit- pour atteindre cet objectif et ainsi ne pas voir ces innombrables heures de travail perdu.
Même s’il utilise la réflexion avant de commencer une œuvre afin d’en déterminer les paramètres à prendre en compte (ex : style, taille et couleur des motifs), une fois celle-ci débutée, l’artiste fait preuve d’une totale spontanéité en laissant son inconscient le guider et éviter la duplication de mêmes motifs lors de la création de ses compositions. Il se focalise seulement sur la partie à réaliser et ne cherche à découvrir l’œuvre qu’une fois complétée.
Ses œuvres miniaturistes sont comme invisibles de loin et engendre une certaine monotonie -voir même un ennui- car l’œil du spectateur ne peux y distinguer qu’une uniformité apparente de couleurs sans réelles structures. Il faut que celui-ci se rapproche et regarde l’œuvre de plus prêt pour pouvoir passer à un état de surprise et d’étonnement en découvrant la grande richesse de formes complexes et très variées qui sont une invitation au voyage vers l’infini avec la possibilité d’atteindre un état hypnotique propice à la méditation.
Nous vivons dans un monde ou l’accès au plaisir facile et immédiat est le maitre mot et donc apprécier les œuvres de l’artiste n’est pas facile pour le spectateur. En effet, l’artiste lui demande d’aller à l’encontre de ce qu’il recherche en lui demandant de passer du temps à regarder l’œuvre et de faire un effort à l’analyser, la découvrir.
Regarder une œuvre de l’artiste est aussi comme une analogie au comportement actuel de l’homme et sa relation avec l’autre. En effet, lorsque l’on regarde une personne pour la première fois, on a tendance de nos jours à se faire un apriori au premier coup d'œil qui est bien souvent partiel et erronée. C’est seulement en ayant une démarche active vers l’autre, en s’en rapprochant, en passant du temps à discuter avec elle, à l’analyser et la comprendre que l’on peut découvrir sa vraie personnalité faite de diversité et de complexité et ainsi pouvoir apporter un jugement raisonné sur celle-ci en toute conscience.